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Far-west

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Aujourd’hui, nous entamons réellement notre remontée vers le nord. Pour le retour, nous décidons de traverser la côte ouest. Cette partie de l’île du sud est réputée plus rude et plus sauvage. Beaucoup de villes qui s’y trouvent sont de anciens bastions de chercheurs d’or.

A la découverte des Fiordlands

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Aujourd’hui, nous partons à la découverte de ce qui est certainement la plus belle région de Nouvelle-Zélande pour les amateurs de paysages montagneux et de glaciers. La région des Fiordlands est située au sud-est de l’île du sud et l’objectif du jour est d’attendre les célèbres « Milford sound ».

La beauté aux milles visages

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Aujourd’hui, comme prévu nous reprenons la route très tôt afin de parcourir les derniers kilomètres qui nous séparent des « Milford sound ». La route que nous empruntons nous offre comme souvent pléthore de paysages éblouissants. Au loin, les monts enneigés nous épient.

Des paysages qui ne vous laisseront pas de glace !

Encore une fois, aujourd’hui nous ne découvrons qu’au lever du jour les paysages qui nous entourent. En effet, nous ne sommes arrivés que tard la veille et ce matin, nous ne regrettons pas que l’obscurité de la nuit ait gardé le secret.

50 nuances de bleu

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Ce matin, nous nous sommes levés tôt dans l’espoir de découvrir un lieu incontournable de l’île du sud sans ses hordes de touristes : le lac Tekapo.

Ce lac d’eau turquoise est gigantesque : 27 kilomètres de long, 6 kilomètres de large et 120 mètres de profondeur. Il niche au cœur des cimes encore enneigés des Alpes néozélandaises.

Nous prendrons donc un petit déjeuner avec vue sur le lac et nous profiterons du soleil pour faire un petit trek de 3 heures dans la partie la plus reculée du lac. De manière générale, nous n’explorerons les parties les plus touristiques du lac qu’en fin d’après-midi, tant les touristes chinois envahissent l’espace dans leur quête de la photo parfaite.

Nous découvrirons ainsi la petite chapelle perchée au milieu de champs de lupins : petite fleur tantôt rose, tantôt violette qui parachève la perfection de l’endroit.

Ce lieu sera encore l’un des plus beaux qui nous a été donné de voir mais cette fois encore, nous vous laisserons juger par vous-même.

Pour nous ce sera douche et coucher de soleil avant de reprendre la route.

A très vite les biquets ! 

 

Welcome to Kaikoura !

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Les routes détruites par le tremblement de terre de l’année dernière nous a fait faire un grand détour mais nous voici enfin à Kaikoura !

Ça décoiffe ! 

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Après une nuit passée sur une route bruyante, nous reprenons la route avant le petit-déjeuner. En effet, nous nous engagerons sur une route sinueuse et relativement longue sur laquelle nous ne pourrons pas nous arrêter pour la nuit, pas de temps à perdre donc. Néanmoins, nous ne pourrons pas nous empêcher de nous arrêter dans quelques lieux remarquables.

Quelle mouche t’a piqué ?

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Aujourd’hui, nous avons repris la route. Après quelques heures, nous décidons de faire un arrêt à l’un des célèbres lacs de Nelson qui sont sans doute de ceux qui sont les plus photographiés et nous comprenons pourquoi !

1 kilomètre à pied, ça use, ça use… 

Ce matin, nous nous levons avant le soleil afin de contempler ses premiers rayons qui transpercent le ciel très chargé. De retour pour le petit déjeuner, nous recevrons une visite étonnante d’un oiseau chapardeur nommé « weka » qui rodera autour de nos chaussures à espérer quelques miettes !

Peu après, nous nous lançons à l’assaut de la petite quinzaine de kilomètres qui nous sépare d’Anchorage, la baie sur laquelle nous prendrons le bateau qui nous ramènera à notre point de départ.

Chemin de sable fin, plage enchanteresse, forêt tropicale… A mi-chemin, nous découvrons l’un des points d’orgues de notre parcours : un point suspendu à plus de 47 mètres de haut.

Clou du spectacle, vous n’avez qu’à vous pencher pour admirer le balai des phoques qui se joue juste sous vos pieds. A la fois amusant et fascinant ! 

Libres et dans leur espace naturel, ils se chahutent, se câlinent et dansent dans une eau si cristalline qu’ils sembleraient presque voler. Un bon coup de pied aux fesses pour décoller nos yeux de ce spectacle, nous repartons sans plus trainer.

Le ciel se charge de plus en plus et nous n’échapperons pas à ce qui arrive. Par chance, nous arriverons juste à temps pour nous mettre à l’abri. Le retour, entassés dans la partie couverte du bateau sonnera beaucoup moins « croisière s’amuse » !

Nous retrouverons avec plaisir notre maison à roulettes après une bonne douche au camping d’à côté. 

A très vite les biquets